Après vous avoir présenté le fonctionnement de la radio ligne D, voici la suite avec, entre autres, la présentation de l’équipe de radio ligne D :
Radio ligne D, la suite … :
D’après les études menées, la plupart de nos clients sont satisfaits de la radio, et elle va donc continuer à émettre ses programmes avec toujours le même objectif : « priorité à l’information ».
Forte de cette expérience, SNCF Transilien souhaite déployer prochainement les flashs sur d’autres lignes de son réseau. C’est d’ailleurs le cas sur la ligne R (depuis octobre 2012 et jusqu’à Souppes-Château-Landon) où des flashs sont diffusés toutes les 15 min, en heures de pointe, et sur les lignes N et U avec un flash toutes les 7 min de 6h à 9h le matin et et 17h à 20h le soir.
Sur ces lignes, il n’y a pas de programmation musicale mais uniquement des flashs d’informations trafic.
Radio ligne D à bord des trains ?
Il n’est pas question de diffuser la radio en continue dans les trains, car un flash toutes les 7 min deviendrait vite insupportable pour certains de nos clients.
Mais, dans les rames équipées du SIVE communiquant (Système d’Information Voyageurs Embarqué), le conducteur reçoit le flash, et a la possibilité de le consulter et de le diffuser, s’il le juge utile pour ses voyageurs ou complémentaire des annonces qu’il a réalisées.
Radio Ligne D, l’équipe … :
L’équipe de radio ligne D est composée de journalistes professionnels, recrutés par notre prestataire Médiameeting (qui travaille également pour d’autres radios).
A la tête de radio ligne D, Josianne Plantié, rédactrice en chef (Médiameeting), travaille en collaboration avec la responsable de l’information voyageur des lignes D&R.
La rédactrice en chef encadre une équipe de 4 journalistes dédiés à Radio ligne D et de 6 journalistes pigistes qui viennent en renfort ou pour remplacer les journalistes titulaires (ils interviennent également pour réaliser les flashs de la ligne R). Elle est également très sensible à vos remarques, mais garde aussi à l’esprit que la radio s’adresse à tous les voyageurs de la ligne, et qu’il est difficile de répondre à certains souhaits individuels.
Afin de mettre quelques visages sur des voix, voici l’équipe en image :
La rédactrice en chef :
Les journalistes de Radio Ligne D :
Les journalistes pigistes :
Claire Guillou (le week-end sur la D), Delphine Jeannot, Margot Madesclaire et Ekel Bahi, dont je n’ai pas les photos.
Si vous souhaitez voir de plus près le studio de radio ligne D, vous pouvez vous inscrire à l’une des visites du COT qui inclut la présentation de la radio.
A quand les flash info pour les autres lignes ? RER C, RER A, RER B…. etc….
Mignonne. 🙂
Punaise… ça c’est vital, merci :-\
En ce qui me concerne, je ne supporte plus la musique omniprésente et imposée sur le quoi de ma gare aérienne.
Personne ne nous a demandé notre avis. Et les riverains qu’en pensent ils. Ok pour l’info mais la musique. Raz le bol. J’ai envie de lire tranquille !
Bonjour,
Je vois que je ne suis pas seule…je n’en peux plus également de cette musique… que l on nous impose. J avais ecrit á la sncf il y a plusieurs annees pour exprimer mon mécontentement et on m’avait fait la réponse que des études montraient que la musique « adoucit les mœurs »… J ai malheureusement égare ce courrier et je le regrette car je souhaite maintenant aller plus loin dans ma revendication… Comment la musique peut-elle adoucir les mœurs de celui qui n’en veut pas…?
Comment pouvons nous procéder pour faire stopper cette entrave à notre tranquillité et à notre liberté de penser…? ( la musique, les paroles véhiculent des pensées qu on le veuille ou non… et nous n’avons pas décidé de cette pollution !). Je suis prête à reconduire mon action avec vous, et tout ceux qui le veulent.
Bonjour,
Je vous rejoins aussi sur ce point de la diffusion de musique (dans mon cas : sur le quai souterrain de la gare du nord, voie 42 et 44).
Autant la diffusion de flashs d’information se comprend, autant celle de musique (à fort volume depuis la réfection des plafonds à la rentrée 2016) est énigmatique en terme d’objectif.
Je copie ici le message que j’ai envoyé en décembre, pour l’instant sans effet, au service clientèle Transilien :
« Je constate qu’il n’y a aucun changement concernant la musique diffusée en Gare du Nord souterraine et son volume élevé.
J’ai laissé un commentaire sur le blog que vous m’indiquiez, sans réponse à ce jour
https://maligned.transilien.com/2013/09/27/silence-radio-ce-week-end-pour-les-lignes-d-et-r/#comment-41724
Avez-vous eu un retour de « la Direction dédiée » a sujet de ma demande depuis début novembre ? (Et de quelle direction s’agit-il ?)
Pour avoir fait le test à plusieurs reprises ces dernières semaines, je signale que porter un casque intra-auriculaire n’est d’aucun secours puisque la musique diffusée recouvre le son du casque. Je réitère donc ici ma demande : est-il possible de couper la diffusion de musique en gare du Nord souterraine ? Elle constitue une gêne ininterrompue pour qui souhaite lire, réfléchir, écouter sa propre musique ou simplement rester non sollicité par des stimuli non essentiels et non consentis pendant son trajet. N’hésitez pas à envoyer une délégation de cette « Direction dédiée » pour faire le test suivant : stationner sur le quai pendant cinq minutes avec un livre, essayer de lire et puis tenter de restituer sa lecture à son voisin à voix haute.
L’exposition subie d’une musique en continue (et ce, comprenons nous bien, quelqu’en soit la programmation musicale) est une pratique contestable des établissements commerciaux qui s’est malheureusement généralisée ces dernières années. Je considère que le quai de la gare du Nord n’est pas une surface commerciale mais un espace public, qui se doit d’assurer une mission de service public. Ce n’est pas non plus un endroit qu’on peut éviter à loisir : je me trouve contraint d’y transiter pour tous mes trajets journaliers.
Je vous prie donc encore une fois de bien vouloir procéder à l’interruption de la diffusion de musique à cet endroit ou alors de m’expliquer quel est l’objectif poursuivi par la mise en place relativement récente de ce dispositif (gestion de foule, demande explicite des usagers, …?), et de procéder le cas échéant à un affichage en gare qui explique à tous les objectifs poursuivis.
Enfin, et puisque Noël approche, je souhaite vous faire une demande particulière : c’est déjà le 4e message que je prends la peine de vous envoyer pour la même demande et je vous prie de croire que j’ai d’autres projets pour mes soirées que de vous écrire encore. Bien sûr, ma demande peut paraitre anecdotique car il y a de toute évidence des problèmes plus importants à traiter (les incidents journaliers, le trafic, l’engorgement, l’entretien, etc.) mais celui-ci est facile à résoudre.
Je vous demande de bien vouloir prendre en compte le stress déjà subi par les passagers de lignes très fréquentées, dans des milieux déjà bruyants pour ne pas ajouter là-dessus ce qui s’avère être une fausse bonne idée : demandez autour de vous qui trouve du plaisir à écouter à fort volume de la musique qu’il n’a pas choisie, dans un endroit qu’il est obligé de fréquenter et dans lequel il n’est que de passage. Réservons, je vous en prie, la musique à des circonstances plus propices à son écoute réelle, celle qui procure vraiment du plaisir. »
Et ce matin nous souhaiter un « très bon voyage » alors qu’il faut attendre plus d’une demie heure à quai pour avoir un mini espoir de s’entasser entre un tas de gens (clients-usagers) et la porte du rer, c’était très bienvenu !:!!
Merci à cette radio formidable , à quand une émission spéciale en conditions réélles ? venez donc faire un reportage à l’intérieur d’une de vos rames en heure de pointe et venez dire que tout va bien !!
ils ne pourront pas parler, seront trop serrés pour prendre le micro et réussir à parler dedans….
çà leur ferait voir la vraie vie !!
ce qu’est un service NORMAL … vu qu’ils n’en ont pas conscience